Les Canadiens n’ont pu accumuler 100 ans d’histoire sans que plus de 750 joueurs se donnent corps et âme à l’équipe. De Donald Audette à Zarley Zalapski, d’anciens joueurs du Tricolore sont éparpillés aux quatre coins de la planète. Bien que plusieurs ardents partisans puissent se rappeler ce que leurs anciens favoris ont accompli sur la glace, une question demeure : que sont-ils devenus? L’invité d’aujourd'hui : Richard Sévigny.
Où demeures-tu aujourd’hui?
Je demeure à Lanoraie dans Lanaudière depuis environ 4 ans
Que fais-tu maintenant?
Je travaille dans un collège privé comme éducateur depuis environ 7 ou 8 ans.
Combien de fois par année chausses-tu les patins?
Depuis une quinzaine d’années, je participe aux tournées des Légendes du hockey et des Anciens Canadiens. Je joue donc environ une quarantaine de matchs par année.
As-tu gardé contact avec d’anciens coéquipiers?
À cause des tournées, on se voit pratiquement tous les week-ends.
Combien de matchs des Canadiens regardes-tu par saison?
J’en regarde quelques-uns, je les suis sur Internet. Je pourrais dire que je continue à suivre mon ancienne équipe. Je dirais que j’en regarde environ 20 ou 25 par année.
Quand as-tu assisté pour la dernière fois à un match au Centre Bell?
Le dernier match que je suis allé voir au Centre Bell, c’était dernièrement alors que les Canadiens disputaient leur dernier match de la saison, contre les Penguins. Avant ça, j’y étais allé avant les fêtes.
Qui est ton joueur favori de la formation actuelle?
Je n’ai pas de joueur favori en particulier. S’il faut que j’en nomme un absolument, je dirais Maxim Lapierre. Il travaille fort à tous les matchs et j’apprécie ça.
Quelle est ta pièce de collection favorite des Canadiens parmi celles que tu possèdes?
J’ai une photo de moi qui a circulé un peu partout en Amérique et en Europe. C’est vraiment une belle photo et je l’aime beaucoup. Sinon, j’ai conservé ma bague remportée en 1979. Mais je ne suis vraiment pas le genre de gars à vivre dans le passé. Les choses matérielles pour moi c’est secondaire. Avoir eu la chance de jouer à ce niveau-là, c’est probablement le plus beau souvenir que je peux conserver.